Portrait au couteau

Malika Ferdjoukh

En librairie le 12 janvier 2022 – À partir de 12 ans

Pourquoi Flavie, danseuse et modèle, a-t-elle près de l’épaule une cicatrice en forme d’oiseau ? Et pourquoi cette cicatrice semble-t-elle liée aux coups de couteau portés à une jeune fille représentée sur un tableau du musée d’Orsay ?

Un grand saut dans le temps

Hiver 1910. Comme tous les jeudis, Marie Legay pose pour le peintre Odilon Voret. C’est un homme sombre, inquiétant. En quittant l’atelier, elle est assassinée de cinq coups de couteau.
Printemps 2010, Antonin Vertov, jeune étudiant en art, est en cours d’anatomie. Le modèle qu’il doit dessiner porte, en haut du corps, une cicatrice en forme d’oiseau… Quelques jours plus tard, au musée d’Orsay où il aime traîner, Antonin croise la jeune modèle, plantée devant un tableau signé Odilon Voret.

Un tableau énigmatique

Ce tableau, intitulé « Le coeur déchiré », représente l’assassinat d’une jeune fille… et la trace des coups de couteau est identique à la cicatrice de Flavie – c’est son nom. Antonin et elle se reconnaissent, font connaissance, et décident de mener l’enquête. Pleine de fausses pistes et de rebondissements, celle-ci va les emporter dans un tourbillon d’événements étranges et inquiétants… Où l’on croise un pinceau qui peint seul, des lettres de sang, des personnalités, artistes, lieux de la Belle Époque, Degas, Gounod, Théophile Gautier, Montmartre et … la clef de l’énigme.

Entre polar fantastique et roman d’apprentissage

« Portrait au couteau » nous plonge dans une atmosphère angoissante et dans l’univers magique des beaux-arts et des musées parisiens. Une partie de l’histoire se déroule au musée d’Orsay, véritable personnage du roman.

Découvrez l’interview de Malika Ferdjoukh

Lisez le premier chapitre du roman


Malika Ferdjoukh n’a jamais été douée en chiffres, dates, additions et calculs (pendant les cours de maths, elle écrivait des histoires à la fin de ses cahiers, ceci explique certainement cela). Résultat : elle est bien incapable de dire combien de romans, de scénarios et de BD, elle a publiés à ce jour. Elle se trompe systématiquement sur son numéro d’étage, son âge, sa date d’anniversaire, ou le nombre des mousquetaires… D’ailleurs, même ses fameuses « Quatre soeurs » sont cinq ! Tout de même, elle sait avec (quasi) certitude qu’elle a dans sa maison 104 étagères de bouquins, 17 théières et 3 chats.

Malika Ferdjoukh (photo DR)

Vers le catalogue Bayard Éditions