Mystère en Corée

June Hur – Traduit de l’anglais (États-Unis) par Marion Roman – En librairie le 12 octobre 2022 – À partir de 14 ans

Treize jeunes filles disparues. Un détective introuvable. Et une fille bien décidée à prouver que tout est lié. Une étrange enquête dans la Corée du XVe siècle, de soie et de sang.

Étranges disparitions

Sans nouvelles de son père, parti enquêter un an plus tôt à Jeju, Hwani décide de se lancer à sa recherche. Mais sur l’île de son enfance, c’est le cadavre d’une fille qu’elle découvre. Plus troublant, cette mort serait liée à la disparition de treize jeunes filles, un terrible évènement qui a marqué la population de l’île.

Poursuivre l’enquête

Hwani en est certaine : si elle veut retrouver son père, elle doit résoudre cette énigme. Pour cela, elle n’a d’autre choix que de s’allier à sa petite sœur Maeweol, qu’elle n’a pas vu depuis cinq ans et qui semble réticente à l’aider. Les souvenirs vont ressurgir. Ensemble, elles vont devoir y faire face, et la terrible vérité va éclater.

Une histoire entre deux sœurs, deux personnages féminins forts, qui vont devoir réapprendre à se connaître, se faire confiance pour découvrir ce qui est arrivé à leur père. Intrigues, conflits de pouvoir, rites mystérieux, dans la Corée de l’ère Joseon, une période fascinante.

June Hur est née en Corée du Sud et a grandi au Canada. Son enfance se partage entre ces deux pays, mais c’est finalement au Canada qu’elle s’installe pour étudier l’histoire et la littérature à l’université de Toronto. Elle écrit un premier livre en témoignage de sa passion pour l’ère Joseon, une période avec laquelle elle renoue dans son deuxième roman, « La forêt des disparues ».

La presse en parle

Sur France Inter , « La bibliothèque des ados » – 9 janvier 2023: C’est un polar hors du commun » « Une intrigue très bien menée, avec du suspens, des rebondissements, tout ça dans un décor incroyable. C’est splendide ! » « Un roman vraiment bien écrit et traduit, qui dépeint avec beaucoup de sensibilité la relation entre deux sœurs que tout oppose » Hannah Pascal, France inter